Sarkoléon
Après la France du grand benêt auvergnat paraît-il un peu de gauche
comme me le disait avec un air dégoûté mon beau-frère Sarkosiste de
droite nous voilà dans une France Sarkoléonienne, parait-il très
droitière à l’ancienne, comme je me le dis avec un air non moins
dégoûté.
Les réunions de famille sont généralement, conviviales, bon enfant et le lieux d’affrontement amicaux sur tout et sur rien
toujours dans la bonne humeur y compris quand on se vanne sur la
politique ce qui est rarissime.
La dernière fois que nous avons
partagé le repas c’était le vendredi précédent ce dimanche électoral,
et l’affrontement à été rude, seul Segoliste de la tablée j’ai
fait front toute la soirée, à la Lendl en balançant imperturbablement
des balles de fond de cours.
Mais le public n’était pas avec moi.
La démocratie s’est exprimée, la médiacratie aussi, le petit Nico est là pour cinq ans si tout va bien mal.
Pour rester dans le fil de mon propos je vous invite à lire cet article très pertinent du journaliste Edwy Plenel du journal « Le Soir »